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Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni)
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MessageSujet: Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni) Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni) EmptyDim 14 Aoû - 2:50



Sakai. Une petite ville toujours très accueillante, toujours très bondé par des touristes ou pleins d'autres dresseurs traînants dans les alentours pour sortir prendre une petite glace dans le célèbre glacier du coin très agréable, avec une bonne dizaine de parfums différent : vanille, framboise, fraise, citron, menthe, chocolat, nougat, bref plusieurs incontournables que j'adore déguster tout en me baladant moi aussi dans les ruelles en compagnie du petit fantôme spectre/poison, je crois d'ailleurs que mon parfum favoris est fraise/citron alors que le goût favoris de mon pokémon est chocolat/caramel. Nous sommes assez différent sur ce côté là, mais nous nous entendons toujours très bien, donc je fais parfois des concessions, parfois c'est a lui d'en faire, puis ensuite je me balades dans les rues prêt des petits marchands vendant plusieurs babioles avec des gadgets en tout genre, qu'ils soient pour les pokémons, ou encore pour moi-même. Puis je passes devant les boutiques vêtements, parfois je rentre dans ses lieux pleins d'exotisme car je n'ai jamais été très fan du shopping de manière général. Mais bon je reste une fille, je dois quand même prendre soin de moi de temps en temps, mais cela arrive surtout le plus souvent quand je déchires mes vêtements durant mes expéditions parfois loufoques. La dernière fois j'ai déchiré un de mes hauts en m'accrochant dans une branche, ou des fois ce sont des tâches différentes de : boue, terre,.. Il y a plusieurs possibilités. Mais bref, ce soir je n'étais pas là pour ça.

Mon pokémon bien rangé dans ma pokéball pendant que je marches alors que plusieurs notes sont entre mes mains, j'ai eus quelques soucis dans mon appartement situé dans cette charmante ville, mais j'ai perdue quelques informations dans un gros mélange de dossier, heureusement tout est sauvegarder. Mais ayant prêt mon disque dur a une amie scientifique, mais principalement collègue de travail, je l'aie jusqu'à chez elle puis je suis repartit aussi tôt. Voulant allez plus vite je fais un détour dans une ruelle souvent mal fréquenté, je ne fais pas très attention, relisant certaines de mes écrits, puis je regardes aussi mes nombreux croquis. Certains sont incomplets, je dois absolument les finir au plus vite possible pour les mettre sous informatique et les mettre dans le pokédex que j'ai créé. Mais alors que je suis en plein dans mes pensés, je percutes une personne. Enfin non, je me fais violemment percuté, d'un coup dans l'épaule me faisant lâché toutes mes notes qui s'étale au sol. Je m'excuse brièvement en m'abaissant pour récupérés mes affaires, quand un homme pose le pieds dessus. Je daigne enfin a levé les yeux aux ciels, fronçant des sourcils en croisant le regard sombre d'un homme. Sans comprendre, sans avoir le temps de comprendre, je me fais plaquer. L'odeur de l'alcool fort enivre mon nez, me donnant de très nombreux haut de cœur horrible. Deux autres hommes nous rejoignent, je perds de mes couleurs habituels. Je sens que cette nuit risque d'être... Longue et un véritable enfer.   

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MessageSujet: Re: Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni) Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni) EmptyLun 15 Aoû - 4:08


 « Les yeux de l'enfer  »


Prym & Aldo







Sakai était une ville agréable, possédant de nombreux panoramas des plus beaux, d'un cadre sympathique et d'une communauté chaleureuse. Aldo se plaisait à y aller, à se promener dans les étendues glacées, découvrant avec entrain ses décors qui semblaient figés dans le temps et la glace. La faune locale était aussi appréciable. L'ancien champion n'était en général pas particulièrement friand des pokemon de type glace mais, force était de constater que certains habitants de ces blanches étendues avaient tapées dans l’œil du dresseur. Il y en avait d'ailleurs un en particulier. Un qu'il n'avait pas encore eu la chance de croiser, mais un qui l'inspirait grandement, un Mammochon. Peut-être était-ce en partie à cause de son double type, le sol, mais, ce pokemon l'avait particulièrement intrigué depuis son arrivé sur l'île. Il le voyait comme une force écrasante de la nature qui pourrait réduire en miette une partie de ses adversaires sans problème. A en juger par son gabarit, la bestiole devait avoir une puissance d'attaque phénoménale et, il était évident qu'il pourrait sans nul doutes être un bon remplaçant à son ancienne équipe, en plus de faire une monture des plus sympathiques.

Ainsi, avec cette cible en tête, Aldo revint plusieurs fois dans cette région, y envoyant même une poignée de sbires, espérant que l'un d'eux se montre plus chanceux mais, malheureusement, aucun d'eux n'eut cette chance, que cela soit avec un sauvage, ou même un appartenant à un quelconque dresseur. Voler des pokemon puissants ne dérangea jamais particulièrement notre homme, bien au contraire. Oh, certes, il ne se salissait plus les mains lui-même depuis bien longtemps mais, l'idée ne l'avait jamais particulièrement perturbé, n'était-ce pas une méthode comme une autre pour obtenir ce qu'il voulait ? Même s'il appréciait le lieux, que le climat ne le dérangeait pas plus que ça, et qu'il avait finit par s'habituer à la grande quantité de neige, son Persian, lui, n'appréciait pas cela. Pas du tout. Bien que son maître lui avait proposé quelques solutions comme par exemple grimper sur le dos de son Rhinocorne pour ne pas être trempé à chacune de ses escapades, la fierté du félin l'avait poussé à rester auprès de son ami de toujours, les pattes profondément enfoncées dans la neige, se plaignant régulièrement de cela.

Cette soirée-là, Aldo était revenu, une fois de plus, bredouille de sa chasse au Mammochon. Pourtant, il était certain que cette créature vivait non loin de la ville, il avait même entendu de nombreuses histoires à leur sujet, d'autant plus qu'une créature de cette taille ne pouvait pas passer inaperçu et pourtant, il n'avait rien vu, une fois de plus. Alors, quelques peu dépité, l'homme rentra en ville pour se rendre dans un des pubs animé, l'espoir de boire quelques verres, le temps de se réchauffer, pourquoi pas en mangeant un bout et s'imprégner de l'ambiance populaire des lieux. Malheureusement, au sein de l'établissement sévissait un petit groupe d'hommes qui avaient pris plusieurs tours d'avances sur tous les autres habitués des lieux. Leur taux d'alcool semblait déjà relativement haut, tellement qu'ils bousculèrent de nombreuses fois Aldo, lui faisant renverser quelques verres, tomber une partie de ce qu'il avait dans l’assiette, lui tâchant même son costume hors de prix et, le pire de tout, ils en vinrent à renverser de la bière sur le pauvre petit Persian. L'homme avait vu rouge, assurément. Autant, le fait qu'on le bouscule, cela pouvait passer, il y avait du monde, cela était envisageable. Mais, le fait qu'on en vienne à abîmer sa tenue, lui qui était particulièrement pointilleux sur l'apparence, l'étranger faillit se lever. Malheureusement, la raison finit par prendre le dessus, conscient que cela finirait par partir en bagarre générale et, que son image en prendrait un coup, alors, il se ravisa. Mais … Que l'on en vienne à faire ça à son compagnon, il ne l'accepta pas, attendant sagement que le petit groupe en vienne à sortir, pour régler leur différent et, accessoirement leur apprendre les bonnes manières. Du moins, s'ils arrivaient à se souvenir de quoi que ce soit.

Par chance, il ne fallut pas attendre bien longtemps à Aldo pour voir une partie du groupe, dont l'homme qui avait offensé le félin, prendre la porte de derrière, ce qui le fit se lever. Payant son addition, l'homme prit la porte de devant pour finir par tomber dans une ruelle où il retrouva les trois hommes, dans une situation qui semblait leur coller à la peau. Ils encerclaient une jeune femme dans cette ruelle sombre, tandis que l'un d'entre eux s'est installé sur cette inconnue, semblant prêt à faire de nombreuses choses peu recommandables. Qu'on se le dise, notre ami ne fut en aucun cas un enfant de cœur, jamais. Mais il avait malgré tout une certaine morale, un certain sens de l'éthique et, son passé douloureux dans la rue ne pouvait que lui revenir en tête dans ce genre de situation. Les horreurs qu'il avait vu et qu'il n'avait pu empêcher, désormais, il en avait la capacité. Cela ne lui donnait qu'une raison supplémentaire pour dégommer ces trois individus indésirables.

Ôtant son long trench-coat noir pour le tenir sur son avant bras, notre ami s'approcha de quelques pas pour venir déloger le dominateur de son siège d'un violent coup de pied en plein dans le visage, marquant ainsi le début des hostilités. S'assurant que la demoiselle en détresse allait bien pendant que les deux autres lourdeaux en faisaient de même pour leur compagnon, Aldo laissa sa veste sur les frêles épaules de la jeune femme avant de se tourner vers son ami « Reste là. ». Le pokemon sembla presque déçu de ne pouvoir participer à la fête mais, sur le signe du menton de son maître, il vint sagement se positionner devant la jeune femme, prêt à en découdre, si jamais un visage passait à porté. De son côté, attendant l'attaque, Aldo déboutonna la veste de son costume afin de ne pas la déchirer et, si tôt que l'un d'entre eux s'approcha pour le frapper, notre homme en vint à lui envoyer un violent crochet dans la tempe, suivi de très près par un uppercut de l'autre bras pour le mettre KO. Le second, quant à lui, eut moins de chance. Le bourreau du Persian. Il eut un droit à quelques coups dans les cottes, suivi de très près par un violent coup de genoux dans l'estomac, ce qui lui fit vomir une partie de ce qu'il avait pu boire, non loin de l'étranger, avant que son visage, maintenu fermement, vienne se présenter au félin qui eut sa petite vengeance personnelle, en griffonnant joyeusement sa figure. Pour finir, Aldo retourna vers l'homme au nez en sang, il s'accroupit à ses côtés pour lui relever la tête en la tirant par les cheveux et, s'assurant que la jeune femme n'ait aucune vision possible sur ce qu'il se passe, il sortir de sa poche un cran d'arrêt, fit sortir sa lame et vint la lui coller à la commissure des lèvres, menaçant de tirer d'un coup net avant de prendre la parole, tout bas. « Je vais me montrer clément, pour aujourd'hui. Revenez, une seule fois ici. Croisez une seule fois mon chemin, je me montrerai bien moins aimable, sois-en sûr. Maintenant tu vas prendre tes compagnons et vous allez vous en aller. Sans mots, sans regards, juste partir si vous tenez à la vie. C'est bien compris? » La lame vint caresser le visage de l'homme avant de venir délicatement caresser la gorge de celui-ci. Le regard et la voix d'Aldo ne laissait aucune place à la négociation. Ainsi, apeuré, l'homme releva les vaincus pour disparaître rapidement dans l'obscurité.

Ayant rangé sa lame, l’homme d'âge mûr se redressa, reboutonna sa veste et tenta de récupérer les feuilles éparpillées dans la neige, du moins celles qui semblaient récupérables à cause de l'agitation. Suite à cela, il vint caresser son compagnon qui, rapidement vint lécher la main contusionnée de son maître, avant que cette même main ne vienne chaleureusement se tendre vers l'inconnue. Inconnue qu'Aldo put enfin détailler. Une jeune fille, dans la vingtaine. Incroyablement belle, suffisamment pour être capable de marquer les esprits et les cœurs de nombreux hommes sur son passage. Suffisamment pour éveiller en ces hommes des désirs et des rêves, allant des plus romantiques aux plus érotiques. L'étranger lui, se contenta d'apprécier ce qui se trouvait en face de lui, tentant un sourire en se préoccupant d'elle « J'ose espérer être arrivé à temps, jeune inconnue. Vous vous en doutez sûrement mais, il semble qu'une si belle femme se baladant seule, de nuit, dans une telle ruelle ne soit guère une bonne idée, vous n'aurez pas toujours autant de chance. Mais passons, êtes-vous capable de vous lever ? » Sur ses mots, notre ami se releva à son tour, espérant aider la belle à se relever grâce à son appui, avant de reprendre de plus belle. « Quant à vos … Croquis, j'ai bien peur que nombreux sont ceux à être un peu trop trempés ou, à avoir été piétinés pour être sauvés. » Il tendit ce qu'il avait pu sauver vers cette jeune femme, il ne savait pas ce que cela représentait et, à vrai dire, cela ne l'intéressait pas plus que ça.


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MessageSujet: Re: Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni) Les yeux de l'enfer (Henry-Georges Giovanni) EmptyLun 15 Aoû - 12:36



Comment est-ce que tout ça m'était arrivée ? Je ne pouvais pas comprendre, du moins je n'y arrivais et mon cerveau, mon esprits semblaient faire un gros blocage, en fait j'étais tellement effrayé et perdue que je n'arrivais a rien dire. Je m'étais juste égaré dans une ruelle pour rejoindre plus rapidement mon bureau et mettre en ordre mes croquis et le disque dur quand un groupe de trois/quatre hommes sont sortit par une porte, au départ ils ne m'avaient pas vu, mais juste a leurs apparences je connaissais de suite l'état d'hommes ivres au point de ne plus répondre d'eux-même. Ils titubaient vaguement sur les côtés, l'un d'eux riait si fort que c'en était désagréable. Les deux autres faisaient les imbéciles tout en se poussant, gentillet, parfois un peu violent. Mais il eut un coup un peu trop fort, comme je passais au même moment. Me percutant d'un coup dur dans l'épaule, je retins une petite plainte de douleur désagréable. Regardant les croquis étalés sur le sol, sans prendre le temps de regarder l'un des hommes je m'abaissa pour tenter de reprendre mes feuilles blanches, j'en avais des dizaines heureusement seulement cinq ou six avaient atterrit sur le sol et je devais faire assez vite, la neige omniprésente finiraient par les abîmés, je pourrais y perdre beaucoup d chose, plus que des simples dessins. Ses croquis représentent beaucoup de choses pour moi, ils sont ma recherche, j'ai besoin d'eux pour retracé les comportements des pokémons que je rencontre, les petites particularités qu'ils peuvent avoir physiquement. Si je perds ses esquisses, je perds une partie de mon travail. Je reconnais rapidement ceux de fantominus, psykokwak et bien d'autres au milieu de celles dispersé sur le sol. J'arrive a récupéré quelques uns, mais quand j'approche une de mes mains vers une des feuilles, un des hommes ivres posa son pieds dessus m'obligeant a relever les yeux. Je croisa le regard sombre, cruelle et avide de... De je ne sais trop quoi : désir ? Envie ? Luxure aussi sans doute. Tout mon corps fut prit de frisson violent, baissant les yeux je tenta de demander à l'homme de relever le pieds pour que je puisses récupéré mon bien. Il rit encore plus avant de tirer sur son pieds, froissant la feuille, je recula la main, tentant de me relevé car il était clair que je ne pourrais pas reprendre celle-là.

L'homme posa sa main sur mon épaule et me poussa en arrière m'empêchant de me lever, il rit en sifflant à ses hommes des mots désagréables à mes oreilles. Je pouvais distinguer ceux de salope, poulette ou cochonne. Mes joues s'empourpre d'une couleur rouge, baissant les yeux devant lui, je réfléchis en cherchant quoi faire, mais c'est la première fois que je suis confronté à cette situation, puis une frêle demoiselle ne peux pas vraiment se défendre face à quatre lourdeaux de ce genre. S'approchant de moi, je tente de reculer, l'un des hommes me reprend les feuilles des mains avant de les jetés dans les airs d'un air moqueur cruels. Je voulus m'exclamer négativement face à ça, mais je n'eus pas le temps, je devais déjà me préoccupé de mon état avant de celle de mes copies.Un d'eux attrapa mon avant bras, me tirant violemment en avant, pour me retrouver le visage face à lui. Je tentais de me débattre, en reculant tirant sur ma main, mais a part leurs nombreux rires amers je n'entendais rien de plus. Pinçant mes lèvres, mes yeux deviennent très rapidement embrumés par des larmes montantes, il me faisait mal, mais ils me faisaient surtout peur.

Tentant de reculer en lui quémandant de me relâcher, soudain il me poussa en avant sur le muret de l'avenue, mon dos claqua et je me plains de douleur en me laissant doucement glisser sur le sol alors qu'un autre s'approche, relevant s main plus haut que son visage, je me caches le mien en passant les bras croisé devant, pour une certaine protection, me protégé en cas de coup, mais alors que la main descend a une allure fulgurante, ce n'est pas mon visage qu'est frapper comme je l'aurais cru. M'attrapant violemment par le haut de ma chemise blanche, il me tire en avant, mais il le tient tellement mal et tire tellement fort qu'il l'ouvre en deux. Je sursaute et vient tout de suite mettre mes mains devant mon buste pour cacher le soutient gorge, je n'oses même absolument rien dire. Ils sont trop fort pour moi, je tentes néanmoins de m'enfuir, ou de me débattre. Tant pis pour les croquis, je pourrais en refaire, mais là il s'agit surtout de ma vie, de ma protection, de mon intimité également. Je ne vais pas laisser une sale bande de saoul me mettre en pièce, ou profiter uniquement de mon corps. Tout les espoirs semblent pour le moins perdue quand soudain, j'aperçois une ombre se mettre devant moi, je relève les yeux, c'est un homme plus grand, peut-être plus âgés également. Le poil du persian me chatouille le nez doucement, je lances un regard dans sa direction. Ils sont tout les deux dans une position prêt a combattre, je sentis aussi la douceur d'une veste chaude sur mes épaules, je la serra contre moi de manière a cacher mon haut déchiré. Baissant les yeux devant lui, je tentes de mon côté de nettoyer mes feuilles pendant que l'homme s'occupe des autres.

Mon sauveur finit par les faire fuir après plusieurs coups au visage, les faisant tomber plus bas que terre pour certains, je n'ai pas pus m'empêcher de relever les yeux vers lui intrigué, pourquoi venait-il me donner un coup de main ? Mon regard était assez froid, méfiant. Je ne le connaissais pas, malgré qu'ils viennent à mon secours, je ne pouvais m'empêcher de le regardé. Physiquement, l'homme est assez grand, des cheveux noir, vraiment sombre. Une carrure impressionnante qui pourrait en écrasé plus d'une comme moi. Une fois qu'il eut finis avec son affaire il revint vers moi, mais instinctivement je me recula en tapant dans le mur, mais il ne semblait pas venir vers moi pour me maltraiter comme ses autres monstres. Il caresse son félin qui avait jouer les chiens de gardes, restant devant moi pour rester en cas d'attaque, puis le petit félin avait eut son moment de grand plaisir en attaquant un des hommes au visage. Je ne pus m'empêcher même d'avoir un léger sourire. Persian été connue pour son agressivité naturel, mais son élégance sans nom également. Je reviens a la réalité quand je vis une main se tendre vers moi pour m'aider a me relever, souriant un peu je la prends, il me tire ensuite en hauteur. Me faisant une petite morale sur ma venue dans la ruelle par cette si sombre, mes joues s'empourpre de nouveau alors qu'il semble désolé sur mes croquis qu'il me tend. Mes yeux s'ouvrent, je les prends immédiatement main en observant inquiète, mais oui. La plus part sont irrécupérable par l'eau.... « Des mois de travail complètement fichu... » dis-je en soupirant avant de finalement relever les yeux vers l'homme, rougissant de nouveau. « Mh... Je sais que ce n'était pas une très bonne idée, mais bon, j'ai toujours eus l'habitude de passer ici. Même à ses heures là, je n'ai jamais eus de problème m'enfin... Merci beaucoup... » dis-je assez timidement en regardant ailleurs, un peu partout autour. Mes yeux se posent sur le beau félin poser assit au sol, je le regardes et sourit un peu. Dans d'autres circonstances j'aurais pris le temps de dessiner le pokémon type normal, de l'observer. Mais ce n'est vraiment pas le moment. Relevant les yeux vers lui je me racle la gorge. « Est-ce que pour vous remercier je peux vous invités a boire quelques choses ? Chez moi de référence, je ne suis pas en tenue de sortir dans un bar... » dis-je en grimaçant un peu au regard sur mon haut déchiré que je tentais de cacher.   

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