◖ PRÉNOM ◗ Albion. On pourrait remonter loin, dans les origines de ce prénom, Albus, blanc. Bien loin de toi, de ta personnalité, de ton passé. Mais peut-être un jour l'as-tu été. Blanc. Qui sait ?
◖ ÂGE ◗ 43 ans. Les années défilent, te prennent à chaque fois un peu de toi .. bien que si tu devais donner ton avis là dessus, tu dirais qu'il n'y a plus grand chose que l'on peut t'extirper désormais.
◖ GROUPE ◗ Baie Ceriz. Les grands de Miranoir, la force représentée au travers d'un fruit épicé et dangereusement piquant.
◖ EMPLOI OU HOBBY ◗ Membre de la ligue de Miranoir. Il y a bien longtemps que tu as trouver ici ta place. On peut bien dire ce que l'on veut sur ton compte, toi tu prends un plaisir certain à assurer le rôle qui t'a été offert. Contrairement à d'autre, tu ne vois pas en les dresseurs qui viennent t'affronter un espoir, ou un avenir assuré et plus beau. Tu es là pour le plaisir de démonter, déchiqueter tout ceux qui pense pouvoir parvenir au sommet de cette chaîne dont tu es le maillon le plus sombre.
◖ SECRET ◗ Ton cœur. Si certains pense que tu n'en as pas, ils se trompent tout simplement lourdement. Des sentiments tu en as, des émotions tu en ressens tellement. Tu es un homme brisé qui pour sa sécurité n'as fait qu'enfermer sa flamme dans un écrin glacé. Tu es capable d'amour, Albion. En réalité, le tien est bouleversant, sans limites et renversant. Tu aimes sans attendre en retour, tu aimes pour l'amour d'aimer … et c'est la ton plus grand secret. Personne ne sait, personne ne saura plus jamais.
◖ TYPE FAVORI ◗ Spectre, Fée. Puissance et mystère, l'un et l'extension de ce que tu es devenu, l'autre un souvenir lointain flottant toujours dans ton sillage. C'est ce que tu es, ce qui te représente et te complète, au fond.
◖ MOTIVATION ◗ Avide du sang des combattants, et des larmes de leurs dresseurs, c'est là ce qui fait de toi la bête noire, le fou de cette Ligue. Tu n'aspires plus à rien dans la vie, tes désirs et tes rêves ont basculés, se sont brisés dans le son de ses os, ce jour là. Aujourd'hui, tu prends plaisir à observer les défaites que tu causes, tu balayes toi même de par ta puissance couplée de souffrance les désirs les plus ardents des autres. Pathétiques, irréalistes, tu n'aimes personne, n'a de pitié pour personne. Dans ton regard, les autres sont dérisoires, ridicules, de véritables bouffons tout juste à bon à s'agiter désespérément devant toi pour ton bon plaisir.

◖ CARACTÈRE ◗ Tu as cesser de plier, aujourd'hui tu restes droit et fort. Un pilier dur et froid. Un roc. Tu dissimules tes sentiments, avances en laissant tes émotions de côté. Tu ne peux plus songer à te détendre, tu pourrais t'y perdre. + Tu n'es pas celui que l'on aime affronter, sous tes yeux larmes et détresse restent sans réaction, tu laisses s'écouler des flots de souffrance, tu ne t'en mêles pas, tu ne réagis même pas. Tu as trop donner. + Tu n'es pas quelqu'un de particulièrement fréquentable, et c'est peu dire en réalité. Tu es un homme tout à fait désagréable, difficile à supporter et tu as ce don d'agacer beaucoup de monde sans faire quoi que ce soit de bien particulier. Tes regards et ton attitude naturelle suffisent. + Tu fuis l'être humain, et celui qui vient à toi n'est jamais bien reçu. Tu regrettes presque ta race, ta condition, ta ressemblance avec eux, simplement parce que tu as été blessé, abandonné, déchiré par la faiblesse humaine. Sa faiblesse à elle. Cette faiblesse qui nourrit le feu de ta haine. + Autrefois, tu étais cet homme plein d'espoirs et de principes, tu te voyais œuvrer pour parfaire ce monde que tu aimais tant, tu aurais aimer instaurer la perfection, forger ceux qui t'entouraient à ton image, effacer la souffrance et la peine, le mal et les ombres. Étrange aujourd'hui de se dire que tu ne vis que pour elles, avec elles. Terrifiant de penser qu'il n'a fallut que quelques minutes, pour te faire basculer dans cet écrin de noirceur. + Tu t'emportes facilement, c'est un fait. Dans un sens, ou dans l'autre, tu débordes si souvent. Tes colères sont légendaires, tu es mauvais, plein de haine et de violence. Au fond, tu es quelqu'un de particulièrement instable, bancal diront certains, mais tu n'en as pas conscience, n'est-ce pas. Bien sur que non. Tu es dans le déni le plus complet, c'est tout ce que tu as trouver pour apaiser la douleur, t'enfermer et puis nier les dégâts qu'elle aura fait sur toi, recouvrir de terre la pourriture qui ronge ton âme comme tu l'auras fais avec son cadavre.