Journal de bord Ville d'origine : Algatia, Hoenn. Équipe pokémon : Inventaire :
gens paumés
— Arrivé(e) le : 23/05/2016 — Posts : 130 — Ft : Luke Mitchell — Fiches : { ʊ } past — T-Card : { ʊ } reality — Banque : { ʊ } money — Âge : 31 ans. (1er juin) — Job / Hobby : Errer, toujours un peu plus... — Couleur : #232d5b — Pokédollars : 5 925. — Rp en cours : Ash Ʊ Mars & Orlando
Sujet: what's left of me now ? ʊ echo. Lun 23 Mai - 18:54
Echo Seastorm
ft. Luke Mitchell
◎ Carte d'identité
◖ NOM ◗Echo, une bribe, un fragment du passé qui s'efface peu à peu. ◖ PRÉNOM ◗Seastorm, et au fond, c'est à l'océan qu'il ressemble, capable de passer de la rage destructrice au calme le plus profond. ◖ ÂGE ◗ 31 ans ◖ GROUPE ◗Baie Maron, mais globalement largué dans sa vie. ◖ EMPLOI OU HOBBY ◗Il fuit, simplement.
◎ Particularités
◖ SECRET ◗Fragmentation. C'est cela, il ne sait plus vraiment qui il est. Il ne sait plus vraiment ce qu'il a fait, ce qu'il n'a pas fait. Il ne sait pas s'il est un meurtrier. S'il n'en est pas un. Il ne sait pas si le sang sur ses mains est le sien, ou pas. ◖ TYPE FAVORI ◗ Aucun. ◖ MOTIVATION ◗Ressentir, c'est ce qu'il veut avant tout. Il veut simplement se sentir en vie, se sentir en sécurité quelque part. Se sentir entier.
◖ CARACTÈRE ◗Echo est brisé. Il est seul contre lui même et contre le monde. Il est parfois incapable de ressentir la moindre émotion, il est parfois une statue, parfois une éponge. Capable d'une empathie terrifiante. Echo est une expérience qui ne s'est pas bien déroulée, la victime de ses propres souhaits. Il est double, parfois si souriant, si attachant et pourtant sa colère peut monter atrocement vite. Il s'attache vite, trop vite, aussi vite qu'il oublie, aussi vite qu'il efface. Aussi vite qu'il souffre.
Newt est genre, un peu stupide mais pas méchant. Enfin, il a tendance à croquer avant de réfléchir, mais il n'a pas toujours des mauvaises intentions. En fait, Echo l'aime bien, parce qu'il est attachant. Parce qu'il est protecteur, aussi, jamais personne ne pourra faire du mal à son dresseur sans perdre un bras, ou deux. Ou des parties intimes.
◎ Histoire
Arms to the ground Far from the rivers Grace in our tears High on a fever Somebody heal me from my pain I'm reaching closer My stars dive lower Filling up lost memories
Holes in the sky Pierced by the fire Somebody tell me this is real
Échos. Ils t’assaillent, sans cesse. Ils te frappent, te malmènent. Chaque souvenir est comme une lame de plus qui s’enfonce dans ta chair, qui la déchire. Ils ricochent et heurtent ton corps, ton esprit. Ils désagrègent le peu de toi qui reste intact. Le peu de vous.
J’ai peur. J’étouffe dans mon propre corps, ce vaisseau trop petit, trop faible, incapable de supporter la fatalité qui se déroule, là, sous mes propres yeux. La peur serre mon cœur, qui cesse de battre, qui observe simplement la scène au ralenti. Ce corps qui chute, inexorablement, vers sa fin. Son sourire, qui lentement s’efface. Son teint qui se ternit peu à peu. Et mon humanité, ma capacité à ressentir qui s’envole avec elle. Avec ses cheveux d’or, son rire cristallin, sa peau douce. Avec ses murmures. Avec notre amour. Mon amour pour elle. Son amour pour moi. Avec mon passé et, avec mon futur. Pourquoi, Echo ?
« Quels étaient vos rapports avec Serah Rosenbach ? » Je ne tressaille même plus, las, fatigué par les questions qui se suivent et se ressemblent. J’ai cette sensation étrange d’être coincé dans une boucle temporelle, l’impression étrange de me noyer, c’est ce qu’elle a ressenti, elle aussi ? Mais parfois, son sourire me revient, parfois elle caresse à nouveau ma joue, me dit que tout ira bien. Parfois seulement, je cours après son souvenir. Je cours après ce bonheur brisé. « M. Seastorm, quels étaient vos rapports av-... » Je relève les yeux, dévisageant l’enquêteur qui s’arrête subitement, troublé par ma réaction, certainement, troublé par le fait que j’ai serré les poings, que je les ai abattus sur la table. Troublé par ma colère. Par mon manque de larmes. Mais les larmes l’ont déjà noyée, alors pourquoi en verser encore ? « C’était ma fiancée. », une réponse froide, distante, tranchante, une réponse qui veut tout autant dire : elle est morte. Une vérité générale, sans la moindre valeur, une case à cocher, tout au plus. « Et diriez-vous que vous vous entendiez bien ? » Les articulations de mes doigts craquent sous la force de la compression, je serre les dents, reposant mon regard sur la vitre sans teint. Qui m’observe, là-bas ? D’autres enquêteurs ? Des gradés ? La famille de Serah ? La mienne ? Je n’en sais rien. Que cherchent-ils à me faire dire ? « Nous étions fiancés. » Je répète, mécaniquement, avant de me détendre, fronçant légèrement les sourcils néanmoins. Cela surprend l’homme qui, à son tour, jette un regard à la vitre. Quand on se fiance, c’est forcément qu’on s’entend bien. Et pourtant...
Quels étaient tes rapports avec Serah, Echo ? Saurais-tu dire, aujourd’hui, de quelle couleur étaient ses yeux ? Saurais-tu dire les mots qu’elle te disait, avant de s’endormir ? Saurais-tu dire comment tu la rassurais ? Tout paraît si simple, mais tout s’efface, tout se déconstruit, se détruit. Elle s’éloigne sur l’océan, et toi tu restes sur le rivage, à l’observer partir. Elle emporte tout avec elle. Tout ton être.
Passé
Décousu
Sans
Repères
Temporels ?
Sa main se tend vers la mienne. Je baisse les yeux, vers sa main parfaitement manucurée, puis j’observe ce bureau parfaitement rangé, sans la moindre trace de personnalité, sans la moindre photo, sans le moindre tableau un tant soit peu personnel. La seule chose accrochée au mur est un diplôme. Et cet environnement qui pourrait se montrer oppressant me rassure. Ces murs quasi-blancs me rassurent. Parce que c’est ainsi que je me sens, à l’intérieur. Vide. En silence, elle me désigne un fauteuil et s’assoit sur le sien, puis elle me dévisage, un long moment, attendant certainement que je dise quelque chose, mais je ne dis rien. Parce qu’il n’y a rien à dire. Alors le silence s’impose, et je détaille la pièce, avant de finalement la détailler, elle. Je suppose qu’elle ressemble à son environnement de travail. Elle est indéchiffrable. Elle doit avoir une petite trentaine, brune, bien coiffée, bien apprêtée. Mais après ? Ce n’est qu’un masque, c’est évident. « M. Seastorm, vous avez contacté mon cabinet afin de prendre rendez-vous. » Mensonge, souffle mon esprit. Je ne sais pas si j’ai fait ça. Je n’en sais rien. « Il est possible que vous souffriez d’un stress post-traumatique, c’est assez courant dans ce genre de situation. Je suis là pour vous aider à faire votre deuil. » Mon deuil ? Mon deuil de quoi, de qui ? D’elle, ou de moi ?
Des flashs colorés.
.sulp sias en eJ
Qui suis-je ?
« Le traitement est expérimental… » Ses mots se perdent, rattrapés par d’autres éclats, se superposant, encore et encore, comme si le passé et le présent ne formaient plus qu’un. Ce n’est plus un vide infini que je ressens à présent. Non. Non, au contraire. Je revois ses yeux, ses yeux qui me dévisage, alors qu’elle chute, sa main qu’elle tend vers moi, je sens encore son contact, sa peur dans ses yeux, son cri, ses rires, tout se mélange, bientôt anéantis par la voix qui commente, encore. Je ne sais plus où est la vérité. Je n’en ai aucune idée. Ils s’échappent en éclats. Tombent en morceaux. En poussière. Mes souvenirs. Mes mensonges. « LÂCHE MOI ! » La voix de Serah. La voix de Serah qui explose. L’appartement à Algatia, le bruit de verre brisés, les soupirs, nos corps qui s’enlace, les pleurs. « Je te déteste. Je te déteste Echo. » Ses murmures, ses plaintes, encore. Pourquoi cela ne s’arrête plus ? D’où viennent-ils ? D’où vient toute cette… Douleur ? J’ai mal. J’ai mal. Je me sens déchiré, écartelé entre la réalité et l’illusion. « … Certaines complications peuvent survenir… » Je n’arrive pas à la rattraper, mais ce sont mes doigts, contre ses hanches, contre sa peau, contre son cou, sa gorge. Ce sont mes doigts ? Et je veux hurler, supplier pour que ça s’arrêter. Supplier mais rien ne sort. Rien ne s’échappe de mon esprit, les explosions de ma douleur restent internes. Le feu des souvenirs brûle tout sur son passage. Il lèche son visage, lèche les instants que j’ai gardé si longtemps en moi et. … Elle tombe. Elle tombe et je ne fais rien pour la sauver. « … Certains souvenirs sont faciles à fal-… » Puis le silence. Et les flashs colorés. Encore. Et ces deux grands yeux verts. Et. Et sa voix féminine, presque inconnue. « Éliminez ma douleur. »
Non, cette voix c’est la tienne, Echo. C’est la mienne, la nôtre. Tu appelles à l’aide. Tu supplies, qu’on te tende la main. Qu’on te libère. Qu’on te dise que tout ira bien. Que tout s’arrangera quand tout ne va qu’en s’aggravant.
SAUVEZ MOI !
Cette image qui s’impose à nouveau, son corps qui disparaît dans les vagues, mes mains qui tremblent, j’ouvre la bouche pour hurler mais aucun son ne s’échappe de ma gorge. Aucun mot ne saurait décrire. Aucun ne saurait retranscrire ma douleur à cet instant. Aucune idée, aucune image. Rien. Rien. Le néant, le vide. L’obscurité complète. « Echo, vous réagissez mal au traitement. » Mon corps allongé sur le sol du cabinet est pris de nouvelles convulsions, terrifiantes, qu’on m’achève. Qu’on cesse de meurtrir mon être. C’est tout ce que je veux. Ni elle, ni personne. Je veux juste cesser d’avoir mal. Même si je dois mourir, tout abandonner, je veux juste cesser de ressentir cette lame qui déchire mes entrailles, je veux juste cesser d’avoir les yeux baignés de larmes, je veux juste arrêter de trembler. « Vas-y. Romps-le. »
Peut-être devrais-tu faire attention aux vœux que tu formes, Echo. Peut-être devrais-tu faire attention aux numéros que tu composes, et aux intentions des gens. C’est ce que tu souhaites ? C’est ce que tu auras. La paix. Enfin.
Le silence. La lumière, elle m’aveugle. La lumière est si forte, c’est celle du soleil. Et le vent est doux, il caresse mon visage, frôle ma peau, il me fait frémir, il est frais. Je suis en vie. Je suis en vie, enfin. « Echo. Comment vous sentez-vous ? » Elle est là, près de moi, près de la fenêtre ouverte du cabinet, assise dans son fauteuil, elle me toise sans la moindre inquiétude. « Bien. » Je réponds, en observant le ciel découvert, un groupe de Goélises traversant l’azur vers l’est. « Je vais vous poser quelques questions de routine, vous êtes prêts ? » Pour toute réponse, je hoche la tête, prêt à subir un nouvel interrogatoire, mais je suis serein, si serein que cela pourrait m’effrayer. « Quels sont vos noms et vos prénoms ? » Je réponds, calmement, observant à présent les gens dans la rues, des enfants courent après un ballon, un couple fait un combat en bas de la rue. « Quel est le prénom de votre mère ? » Et soudain, les rires des enfants disparaissent. Aspiré par mon esprit qui se fige, se bloque, mes lèvres s’entrouvrent, pour se refermer finalement. Je sais ce qu’est une mère, je sais que tout le monde en a une, et pourtant. Devant mon silence, elle secoue la tête négativement, elle affiche une mine grave. « Avez-vous poussé Serah ? » Serah. C’est elle, la femme ? La cascade de ses cheveux blonds qui caressent mon visage, son sourire qui quitte mon champ de vision alors qu’elle se retourne, me faisant un signe de main. Elle part. Elle part ? « Serah ? » Je répète, machinalement, interrogeant la psychiatre d’un regard, cette dernière pose ses yeux sur le pokémon qui l’assiste, le pokémon dont je n’ai jamais connu le nom.
Elle te veut du mal, Echo. Elle ne cherche pas à ce que tu ailles mieux. Fais-toi une raison, rien va mieux à présent. Elles te veulent du mal. Réagis. RÉAGIS !
« Nous allons migrer sur un nouveau traite-… » Elle s’arrête, brusquement, se relève, je lis la peur dans ses yeux, la peur lorsque je débarrasse son bureau d’un geste vif, violent, envoyant valser les bibelots et les dossiers. « C-Calmez-vous. » Elle cherche à se rassurer, je le lis dans ses yeux quand j’approche, quand je la plaque au mur, quand je passe mes mains autour de sa gorge, quand je serre, juste un peu, pour lui faire peur, pour lui faire mal. « Qu’est-ce que vous m’avez fait ?! » Elle balbutie quelque chose, quelque chose d’incompréhensible, alors je serre encore. Elle ne cherche pas à se débattre. Elle pose ses yeux sur le pokémon puis la migraine me frappe, elle m’assomme. La douleur, elle revient. Elle revient plus forte. Et son visage. Son visage, Serah. Ses cris, ses supplications, mes mains qui la pousse, sa chute, tout. Elle. Elle… Je. « Qu’avez-vous f… » Je m’accroche à ses chevilles comme à la vie, comme à la réalité, celle dont je doute de plus en plus. Qui suis-je, enfin ? Un meurtrier ? Non. Non, ça ne peut être vrai. « Vous avez demandé à ne plus souffrir. » Sa main se pose sur le sommet de mon crâne, elle caresse mes cheveux, avec cette tendresse étrange, malsaine. Je veux fuir, je veux m’accrocher à ces bribes de sentiments, ces échos du passé.
Où est-t-elle ?
La réalité
Le doute
Le mensonge ?
Je cours, je lui échappe, j’échappe au temps, j’échappe à l’illusion, j’arrive à faire des liens, à dessiner une chronologie. Je connais la vérité, je m’y accroche, même si elle est fragile, même si elle menace de rompre à chaque nouvelle tentative. Et enfin, je m’arrête. J’inspire. J’expire. Je suis complétement épuisé. Complétement lessivé par ma course, par ma fuite. Elle te veut du mal, répétais mon esprit, alors, je suis parti. Je l’ai fuie. J’ai fuis ce monde, la police, la famille, les amis, le passé. J’ai fuis cet acide qui me rongeait. J’ai tout abandonné, pris le premier ferry et je suis arrivé ici. Sur cette terre, sur cette plage. Et maintenant il fait nuit. Le temps s’écoule étrangement, encore. Je n’arrive pas à faire tous les liens, je n’arrive pas à tout saisir, à tout analyser. Je n’arrive pas à tout voir, à tout retenir, à tout construire mais. Mais j’essaye. J’essaye de ramasser les morceaux de mon âme, j’essaye de sauver mon être. Et puis. Et puis, cette créature m’attaque, il attrape mon sac dans sa gueule, entre ses crocs et le tire. Il le déchire, d’ailleurs. Je ne sais pas quoi faire, je n’ai jamais eu de pokémon, autant que je sache ? En fait. En vérité, je n’en sais rien. Mais la vie d’un dresseur, l’obstination à collectionner, accumuler, gagner, construire ne peut que m’aider alors, je sors une pokéball de mon sac et lui écrase sur le sommet du crâne, il en voulait à mon bras, mais il est surpris, il titube, disparaît dans la boule rouge et blanche. Qui oscille. Encore. Et encore. Puis elle s’immobilise. Et c’est ainsi, juste ainsi que tout commence. Ma nouvelle vie. Mon nouveau monde.
C'est fou, cette faculté de l'esprit à combler les blancs. Cette faculté de créer des souvenirs là où n'y a que des oublis. Cette faculté de vouloir tout expliquer, tout lier. Cette propension à l'auto-destruction.
◎ Hors rp
◖ PSEUDO ◗ Astrae ◖ ÂGE ◗ 22 ans ◖ COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? ◗ Bah tiens. ◖ ES-TU UN DC ? ◗ Plus que ça !
◖ UNE GÉNÉRATION POKÉMON FAVORITE ? ◗ La 4e ! ◖ UN POKÉMON PRÉFÉRÉ ? ◗ Roserade, Dimoret ~ ◖ UNE SÉRIE FAVORITE ◗ Plein. ◖ MOT DE LA FIN ◗ Plouc.
Karel Ashcroft
Journal de bord Ville d'origine : Poivresel. Équipe pokémon : Inventaire :
team shelters
— Arrivé(e) le : 28/03/2016 — Posts : 551 — Ft : Lyndsy Fonseca. — Fiches : fifiche par là. + les p'tits liens . — T-Card : la t-cards toute belle. — Banque : money, money, money ♫ — Âge : 26 ans. (14.09) — Job / Hobby : Ancienne Admin de la Team Aqua. Admin de la Team Shelters et désormais Ranger. — Couleur : #990000 : CB.
#DC143C : In RP.
— Pokédollars : 9.692. — Rp en cours : Jahan & Lycaon.
+ Mission.
+ Pnj.
Sujet: Re: what's left of me now ? ʊ echo. Lun 23 Mai - 19:04
Vous avez la possibilité de garder ce starter ou de demander une relance à la suite de ce sujet. La relance se fait parmi la même liste de pokémons. Si vous demandez une relance, vous aurez trois propositions de starters, en revanche, ils seront de niveau inférieur (5) et la première proposition ne sera plus accessible.
Voulez-vous garder ce pokémon ?
Echo Seastorm
Journal de bord Ville d'origine : Algatia, Hoenn. Équipe pokémon : Inventaire :
gens paumés
— Arrivé(e) le : 23/05/2016 — Posts : 130 — Ft : Luke Mitchell — Fiches : { ʊ } past — T-Card : { ʊ } reality — Banque : { ʊ } money — Âge : 31 ans. (1er juin) — Job / Hobby : Errer, toujours un peu plus... — Couleur : #232d5b — Pokédollars : 5 925. — Rp en cours : Ash Ʊ Mars & Orlando
Sujet: Re: what's left of me now ? ʊ echo. Lun 23 Mai - 19:10
Alors. Oui. Mais. Non. Pas lui. Je. Non. Désolé... Je te donne un peu plus de travail.
Karel Ashcroft
Journal de bord Ville d'origine : Poivresel. Équipe pokémon : Inventaire :
team shelters
— Arrivé(e) le : 28/03/2016 — Posts : 551 — Ft : Lyndsy Fonseca. — Fiches : fifiche par là. + les p'tits liens . — T-Card : la t-cards toute belle. — Banque : money, money, money ♫ — Âge : 26 ans. (14.09) — Job / Hobby : Ancienne Admin de la Team Aqua. Admin de la Team Shelters et désormais Ranger. — Couleur : #990000 : CB.
#DC143C : In RP.
— Pokédollars : 9.692. — Rp en cours : Jahan & Lycaon.
+ Mission.
+ Pnj.
Sujet: Re: what's left of me now ? ʊ echo. Lun 23 Mai - 19:24
C'est votre deuxième lancé ! Vous devez à présent choisir l'un des trois pokémons proposé.
Quel pokémon voulez-vous garder ?
Echo Seastorm
Journal de bord Ville d'origine : Algatia, Hoenn. Équipe pokémon : Inventaire :
gens paumés
— Arrivé(e) le : 23/05/2016 — Posts : 130 — Ft : Luke Mitchell — Fiches : { ʊ } past — T-Card : { ʊ } reality — Banque : { ʊ } money — Âge : 31 ans. (1er juin) — Job / Hobby : Errer, toujours un peu plus... — Couleur : #232d5b — Pokédollars : 5 925. — Rp en cours : Ash Ʊ Mars & Orlando
Sujet: Re: what's left of me now ? ʊ echo. Lun 23 Mai - 19:26
Hé bien, ce sera Kaiminus, il a du mordant.
Invité
Invité
Sujet: Re: what's left of me now ? ʊ echo. Mar 24 Mai - 0:53
Bon. Sérieusement, je pense qu'Echo, de tous tes personnages est de loin mon préféré. J'aime la complexité de son histoire, la part d'ombre, le mystère, le passé qu'il essai d'enterrer. Rha, je l'aime celui-là. Vraiment. C'est mon chouchou now. Tu connais ton chez toi, pas besoin de te faire un dessin. :cute: