« Hé Malosse, vas y doucement tu vas tout faire cramer. » Et tu ronchonnes, en plus. C'est sans doute la fatigue, ou plus juste ; la lassitude qui te fais parler. Le bateau avance bien. La coque est vraisemblablement réparée et le paquebot est normalement prêt pour une mise à l'eau … un test. Le genre qui passe ou qui casse. Qui touche, ou qui coule. Tout ce qu'il reste à faire ne sont que détails, les cabines ont été rafistolées pour certaines, tu as déjà choisis la tienne d'ailleurs. Un petit coin rien qu'a toi que tu t'occupes de retaper toi-même avec tes Pokémon, n'en sortant le nez que pour aider, par-ci, par-là ou proposer les talents de cracheurs de feu de tes compagnons pour quelques tâches. Pas donné à tout le monde à la team Aqua, d'avoir des Pokémon de type feu .. et les tiens s'avèrent utiles pour quelques travaux de soudure. Comme pour cette rambarde de fer que ton Pokémon vient de souder à la puissance de son attaque sous le regard satisfait d'un sbire qui maintenant se lève, t'envoyant un signe de tête pour remerciement avant d'aller travailler sur autre chose. Toi tu as chaud. Le soleil à été haut et brûlant toute la journée, comme pour annoncer l'été désormais si proche.

Tu soupires, alors tu te laisses tomber sur le plancher pour te reposer un peu. Regarde toi. Plus aucune allure. Tu passes une main sur ton visage … avant de sursauter en entendant la sonnerie de ton Holokit. Tu décroches après quelques secondes à peine. Jahan. C'est ton grand frère. Tu lui souris, il t'annonce une surprise. Une surprise de taille et ta mine change. Jahan est là, à Miranoir. Heureux de te voir, il te demande de le rejoindre sur la plage … la plage qui n'est qu'a quelques mètres de là où tu te trouves. Tu acceptes, bien sur. Il s'agit de ton frère, et ton grand frère tu l'aimes plus que tout. Il est ta moitié, celui avec qui tu as tant partagé. La personne que tu le connais le mieux sur cette Terre, et même si tu es obligée de lui mentir – pour son propre bien – tu ne peux tout simplement pas refuser de le voir, sous aucun prétexte. Parce qu'il te manque, il te manque si fort, et que l'envie de te retrouver dans ses bras est bien plus forte que ton désir de préserver ton mensonge. Lorsque tu raccroches, Saphir vient aussitôt se blottir tout contre toi, alors que Malosse se couche sur tes pieds. Comme s'ils avaient sentis ton trouble … tu plonges alors tes doigts fins dans la fourrure de Saphir, avant de te lever, et de soupirer.

Tu prends un peu de temps. Histoire de t'arranger, de ne pas paraître fatiguée devant ton frère avant de sauter sur le sable et de longer la plage sur quelques mètres. Tu l’aperçois après quelques minutes, ton frangin. Planté là, droit devant sur le sable. Et puis tes yeux se posent sur la boule de poils sombre qui accourt vers toi, et tu reconnais Hûo sans problème. Ce dernier vient à toi, te réclame quelques caresses, que tu lui offres de bon cœur en plus de quelques câlins alors que déjà, Saphir tente de faire connaissance pendant que ton Obalie vient rouler jusqu'à l'Hélionceau que lui seul connaît déjà. « Soyez sages. » murmures-tu avant de te redresser pour t'avancer vers Jahan. Tout d'abord tu marches, et puis tu accélères et une fois à la hauteur de ton frangin tu lui sautes littéralement dessus, passant tes bras autour de son cou pour le serrer fort tout contre toi pendant un long moment. Te remémorer ton odeur à lui, son odeur de grand frère, tu profites de ce contact si naturel, si sécuritaire. Comme il t'a manqué … comme finalement, le temps t'as paru long sans lui. Tu as simplement éviter d'y penser, tu as mis ça de côté. Tes liens avec ta famille pour te concentrer sur la team Aqua, et pourtant, maintenant qu'il est là tu ne peux que t'en rendre compte ; tu as vécu toutes ses années, avec une petite partie de ton cœur manquante, tout simplement.

Tu recules alors, laissant tes mains glisser jusqu'à ses épaules. Tu prends le temps de l'observer, de détailler les traits de son visages, ceux que tu connaissais jadis par cœur mais qui semblent avoir changés, évolués avec les années. Mais finalement, il est comme un bon vin ton frère, c'est ce que dirait ton père. Il se bonifie avec le temps. « Mais enfin … » commences-tu. « Qu'est-ce que tu fais ici ? » C'est la question que tu te poses depuis son annonce. Toi qui te pensais loin de tout, toi qui pensait qu'ici tu étais assez éloignées de ta famille pour devoir cesser de te soucier de l'ignorance et du mensonge que tu leurs avaient à tous imposé … voilà que les choses viennent d'être chamboulées, et déjà alors que tu le fixes, un sourire aux lèvres, tu ne peux t'empêcher de te demander comment tu vas pouvoir gérer la présence de Jahan sur cette île où s'est regroupée ce qu'il reste de cette organisation, qu'est la Team Aqua.
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Tu avais toujours eu une relation plutôt fusionnelle avec ton frère. Bien sur, il y avait eu des hauts, et des bas, des disputes, ou plutôt un bon nombre de chamailleries. Lui était doux, attentionné, un véritable chevalier en réalité, un chevalier qui très tôt s'était mis en tête de te protéger, toi son unique petite sœur au caractère bien trempée. Tu lui en avais fais voir, à Jahan. Entre les Krabby dans son lit, et les seaux d'eau surprises en plein été, il avait été servi. Mais il avait toujours été là, et en grandissant, votre relation s'était affiné. Il était ton plus grand soutien, plus que ton père pour toi finalement, c'était lui l'homme de ta vie. Ton pilier à toi. Ton roc. Ton phare dans la nuit noire. Tu étais partie si loin de lui, et pourtant, tu n'avais jamais rien oublier de Jahan. D'ailleurs, tu n'avais même pas réussi à couper le contact quand finalement, il l'aurait peut-être fallu. Tu avais besoin de ton frère dans ta vie, d'une façon ou d'une autre alors … lorsque tu le sers tout contre toi, lorsque son odeur de grand-frère vient chatouiller tes narines et lorsque tu sens ses bras se refermés sur toi, tu ne peux t'empêcher de te sentir bien, chez toi et à ta place. Tu ne peux t'empêcher de ressentir cette bouffée de bonheur, cette dose d'euphorie et à la fois, cette douleur sourde qui vient te rappeler qu'à la minute même où il a poser le pied sur cette plage, ton frère vient  de te scinder en deux.

Forcément, tu questionnes, et lorsque tu t'éloignes pour le regarder, l'observer, il vient déposer un baiser sur ton front. Un baiser doux, rassurant, fraternel. « Je suis venu te voir. Je n'en pouvais plus d'être coincé à Hoenn, j'ai réussi à être muté ici. Comme ça on sera de nouveau ensemble ! » Et tu souris, mais derrière ton sourire tu caches l'inquiétude et la culpabilité. Tu as menti à ton grand-frère, toutes ces années. Tes voyages, les raisons de ton départ, tes activités, tu avais menti pour tout et la seule chose que tu avais partager, c'était tes mouvements. Tu n'avais jamais réellement menti sur tes déplacements, tu avais parler de Miranoir à Jahan peu de temps après ton arrivée ici, sans penser une seconde qu'un jour il lui prendrait l'idée de te suivre et pourtant … maintenant il était là, et il se retrouvait entre toi, et ce bateau non loin de toi. La base d'une Team Aqua, une organisation criminelle dont tu étais une des dernières représentantes actives. Il était là, oui. Et ce n'était même pas pour des vacances de courte durée que tu aurais pu gérer non, il avait été muter. Pour son travail. Il était maintenant un Ranger de Miranoir, l'une des personnes sur cette île capable de te causer des problèmes, à toi, à Lycaon, ou encore à Arthur lui-même. « Mais. C'est génial ! » Et potentiellement problématique pour toi, à l'avenir … mais peu importe, au fond avoir Jahan près de toi te rassures. Tu n'es plus seule. Car tu as beau avoir Lycaon, il n'est pas spécialement le meilleur confident du monde pour toi, surtout ces derniers temps.

La main de ton frère vient glisser dans tes cheveux, tant de gestes affectueux que tu acceptes car ils te semblent si familier, te rappellent bien des souvenirs. « Tu es devenue encore plus belle que la dernière fois... » Et tu baisses les yeux, parce que même venant de ton frangin, les compliments te gênent, te font rougir. Tu y es si peu habituée. Ton regard vient alors se poser sur Huô qui ronronne dans les jambes de Jahan, puis sur Saphir qui mordille ta chaussure en quête d'attention. Tu souris, avant de prendre ton Pokémon dans tes bras et de lui embrasser le museau, lui offrant quelques câlins avant de le montrer à ton frère. « Je te présente Saphir. » Et c'est que tu en es fière, de ton Feunnec, si unique et différent. « Il est beau, hin ? »
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Au fond. Tu es fière de chaque Pokémon qui compose ton équipe. Chacun d'entre eux représente un petit quelque chose, un morceau de ton existence, un souvenir précieux que tu conserves là, au creux de ton cœur. Chaque rencontre est unique, tu le sais. Si au fond, les captures et la vie d'un dresseur ressemblent à une ritournelle incessante, toi tu sais qu'il n'en est rien. Ta vie est faite de rebondissements, de belles et de mauvaises choses. Saphir, c'est encore autre chose. Tu y es attachée d'une bien étrange façon, il est unique sous bien des aspects, tu vois en lui des choses que personne d'autre ne peut voir. Il est un souvenir impérissable, et pour le moment, un souvenir finalement particulièrement douloureux, acide.  Pourtant. Pourtant tu l'aimes. Même si ces derniers temps, lorsque tu regardes, ton corps s'enflamme, même si tes veines brûlent et s'affaissent, même si tout ton être réagit violemment, tu l'aimes. Parce que tu le sais, qu'il n'est responsable. Tu le sais, que la responsable, c'est toi. Rien que toi. Alors. Tu l'affiches, tu le câlines. Tu le montres à ton frère, comme un trophée, sans même imaginer une seconde que ce simple geste est en soi une belle erreur. Encore une.

Les yeux de ton frère se fixent sur ton Feunnec, tu le vois, l'observes alors qu'il détaille ta boule de poils un petit moment. Il n'en a sûrement jamais vu de semblable, comme toi avant que tu poses les yeux sur Saphir. « Il est beau oui … bonjour Saphir. » Il sourit. Et voir ton frère sourire te réchauffe le cœur d'une certaine façon. Il respire la joie, la douceur et la gentillesse. Jahan, il n'est que lumière. Et c'était ton cas avant. Avant tout ça. Maintenant, tu sais que tu possèdes en toi une part d'ombre, parce qu'un jour tu t'es laissée aller aux ténèbres. Et lorsque l'on se frottent aux ténèbres, ils s’imprègnent de vous et ne vous quitte plus. Plus jamais. Tu as vu la mort Karel. La mort de ton ami, ton meilleur ami sans doute. Tu as vu la tienne, tu l'as vu te tendre les bras, approcher de toi, se faire séduisante pour t'attirer, te bercer, t'emmener. Tu l'as vu. Et ce moment a laisser en toi une trace indélébile. Une cicatrice. Humpf. « Je n'avais jamais vu de Feunnec Shiny. » Ah. Tu aurais du parier. Ça aurait améliorer tes finances, tiens. Et a ton tour, tu souris, plutôt heureuse, satisfaite que sois toi pour une fois qui lui fasse découvrir quelque chose. Qui le surprenne. « Moi non plus, pas avant lui. » D'ailleurs, tu ne te lassais toujours pas de l'observer lorsque tu en avais l'occasion, tout comme tu ne pouvais tout simplement pas t'empêcher de l'afficher, le montrer. Par pure envie, pure fierté.

« Où est-ce que tu l'as attrapé ? » Et voilà, Karel. C'est le retour du bâton encore. Tu ne t'y attendais pas, à cette question. Tu aurais du. C'était logique, c'était particulièrement prévisible, et pourtant. Te voilà prise au dépourvu, et sa question réveille tes souvenirs. Ces souvenirs si récents que pourtant, tu essayes déjà d'enfouir, d'enfermer au plus profond de toi pour éviter d'avoir mal, d'en ressentir l'acidité. Tu n'as pas attrapé Saphir. Tu … ne sais pas où il a été attrapé, en réalité. Tu n'as pas pris le temps de demander. De le demander à celui qui te l'avait donné, offert. Lui. Tu recules d'un pas. Touchée en plein cœur. Il ne sait pas, il ne pouvait pas savoir. Alors, tu t'efforces de masquer ton trouble. La douleur. Tu déposes Saphir au sol, le laisses se frotter à tes jambes. Seulement, tu ne lui accordes pas un regard. Tu l'ignores, tout comme lui t'as ignoré. Ce jour là. Tu sens Malosse, il vient glisser sa tête sous sa main, et tu lui offre une petite caresse. Tout va bien. Non, en réalité rien ne va, mais tu feras comme si. Pour ne pas inquiéter Jahan. Ce n'est pas le moment. Tu te racles la gorge. Reprends un sourire, sans doute un peu maladroit. Pâle. « En fait... » Et tu cherches. Tu cherches quoi lui dire. La vérité, Karel. Pour une fois. La vérité, c'est bien. « On me l'a donné. » Et là, tu penses. Là, tu anticipes. Offrir un Pokémon, le donner, le confier, ce n'est déjà pas anodin. Tu le sais. Jahan le sait. Alors. Un Pokémon si rare, si unique. Il va questionner. Et même s'il ne le fait pas, au moins … tu auras prévu le coup. Au moins une fois. « Mon patron l'a trouvé, et. Il n'en voulait pas. Ça … ça ne correspondait pas tellement à son équipe. Il voit, plus grand je suppose. » Ouais. Un bébé renard, c'est pas le genre de Lycaon … quoi que. Tu l'as vu câliner Midona ? Ouais. En réalité, tu ignores pourquoi il te les a confier à toi. Lui. Et ce Dedenne. D'ailleurs. « Il m'a aussi donner un Dedenne. » Trop d'anticipation, tue l'anticipation tsé. Tant pis. « Il traîne sur le bateau où je bosse. Je te montrerais si tu veux. C'est encore qu'un bébé. »
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Au final, tu racontes un peu ta vie. Mais n'est-ce pas toujours le cas, avec Jahan ? Tu doutes que ça l'ennui. C'est une habitude. C'est lui qui t'as toujours pousser à le faire. Ton frère à toujours voulu tout savoir de ta vie, ce que tu faisais, avec qui tu étais, si tout allait, si tu avais des amis. Ce genre de choses. Des questions banales, anodines, auxquelles pourtant tu avais toujours apporter des réponses empruntent de mensonges. Pas le choix. C'est comme ça. Tu as fais des choix de vie bien étranges, des choix qui ne correspondent pas au standard habituel, des choix qui sortent un peu trop des sentiers battus. C'est comme ça, au fond, tu es à l'opposé de ton frangin et si entre vous finalement, se dresse un gouffre invisible pour lui, tu sais bien que tout ça c'est entièrement ta faute. Pourtant, tu es persuadée de faire ça pour lui. Pas pour toi. Pour le ménager, l'épargner, c'est comme avec le reste de ta famille. Tu n'es pas certaines qu'ils le supportent. Ils ont une si belle image de toi, tu ne peux simplement pas tout briser comme ça … Tu as deux vies, Karel. Et aussi longtemps que tu le pourras, tu sais que tu tiendras ces deux là aussi éloignées l'une de l'autre que possible.

« J'espère qu'il ne fait pas trop de bêtises. Un bébé Pokémon, ça bouge partout, tu dois lui courir après, non ? » Et perdue dans tes pensées, l'espace d'une seconde tu songes à demander « qui ? ». Et puis tu te souviens. Il parle de Dedenne. Et tu souris. Tu laisses même échapper un léger rire. C'est un euphémisme, en réalité. Ce Dedenne, c'est presque une malédiction. Oh. Tu l'adores. Même si pour le moment, tu n'as pas pris le temps de passer plus de temps que cela avec lui, mais … mais il est intenable, ce Pokémon. Tu le laisses sur le bateau, il va, il vient, il vagabonde en toute liberté. Tu sais qu'il passer chiper des trucs dans les cuisines, mais au moins, il ne pose pas de soucis avec les clients. Il reste à sa place, en quelque sorte, même s'il lui arrive d'ennuyer quelques sbires, ou de passer envoyer une décharge à Sarah – ce que tu as tendance à apprécier - … en fait. Ça passe. Il est terrible, mais tu sais que ça pourrait être pire alors, tu hausses simplement les épaules. « Il est actif .. Il aime faire des bêtises, c'est un petit diable. Mais. Mais ça va. J'ai pas trop à m'en plaindre, normalement. » C'est un petit solitaire, ce Pokémon en réalité. Un bout en train, qui n'a finalement pas réellement besoin de toi, même s'il aime venir à toi lorsque tu reviens sur le navire. Il réclame quelques caresses, sa ration de nourritures, quelques friandises, un câlin de temps à autre, mais c'est à peu près tout. Il passe son temps à ennuyer les autres, en règle général, ce qui a tendance à te faire rire plus que ça ne t'énerve en fait.

Tu soupires, au final. Tes doigts continuent de caresser le haut du crâne de ton Malosse. C'est un soutien, un moyen de garder contenance, de ne rien montrer. Rien de tes troubles. Rien de tes questionnements. Rien de tes regrets. Absolument rien. Tu offres un regard à ton Pokémon, il ne bouge même pas. Il se laisse faire, comme s'il avait compris que tu avais besoin de lui, là maintenant. Et une nouvelle fois, tu te fais cette réflexion ; ce Pokémon à un don pour te comprendre. Il agit toujours en fonction de toi. Il est toujours là. Il fait toujours ce qu'il faut, quand il le faut. Et c'est incroyable, au final, mais ton meilleur ami, c'est tout simplement lui. C'est comme s'il te comprenais mieux que personne, comme s'il te connaissait depuis longtemps, depuis toujours. D'ailleurs. « Je te présente Malosse, aussi. » C'est son tour. Tu as présenter Saphir, tout particulièrement, c'est au tour de Malosse maintenant. Lui aussi, le mérite, même si ce sera plus bref, tu t'en doutes, même si tu sais aussi que tu dois prendre plus de pincettes avec ce Pokémon. « Par contre … hm. Fais attention, avec lui. » Commences-tu. Parce que oui, tu n'as pas la moindre envie que la main de Jahan finisse dans le même état que celle de Lycaon … « Il mord. » Hm. « Il n'est pas très … commode, si tu vois ce que je veux dire. » Commode, hin. En fait. Pour certains, ce Malosse est carrément mauvais. Même si toi, tu sais bien que c'est faux. Il est protecteur c'est tout. « Mais c'est un ami fidèle. Vraiment. »
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